Fiche technique

La vie avant...                                 La VIE après...
(Et entre les deux)
La traversée du cancer du sein

Témoignage


Marilyn Droog
Rue de la Fauvette, 15 - B (Belgique) – 1180 Bruxelles marilyndroog@yahoo.fr

Genre :
Témoignage, récit biographique de la traversée d'un cancer du sein : diagnostique, opérations, pronostic, chimiothérapie, radiothérapie, hormonothérapie, convalescence…

Résumé :
Sur un ton d'humour, de vécu quotidien, partage de cette lutte pour la survie. Celle-ci commence dès la prise du premier rendez-vous.
Une fois arrivés en chimiothérapie et/ou en radiothérapie, la plupart d'entre nous ne sont plus malades du cancer, puisqu'il a été éliminé par ablation, mais horriblement mal ou fatigués suite aux traitements… Pourquoi nous appeler encore "cancéreux" ? Et comment nous qualifier alors ? Voilà pourquoi je propose les mots Chimioke et Radioke, car nous sommes des humains avec un vécu particulier et temporaire. Ce nom me faisait penser à une tribu, genre indienne, en recherche de survie. Il exprime aussi mon dégoût, comme on dit Bêêêke, quand on est enfant.

Public concerné :

  • Ce livre a été écrit pour, d'aventure, aider les personnes atteintes d'un cancer du sein à franchir plus à l’aise les différents stades de leurs thérapies. S'y préparer, comprendre, réagir.
  • Souvent mes ami(e)s, mes proches auraient aimé m'aider, sans bien savoir comment. A ceux qui veulent comprendre ce qui arrive aux personnes qui ont (eu) un cancer et des thérapies lourdes, j’aimerais donner quelques idées de ce qu’ils peuvent faire.
  • Pour permettre également aux "autres" de réaliser par où passent les rescapé(e)s d'un cancer du sein.
  • Mais aussi, parce que je me suis parfois sentie totalement incomprise ou parce qu’ils me paraissaient parfois complètement à côté de la plaque, malgré leur bon vouloir et leurs compétences professionnelles, j'ai aussi écrit dans l'espoir que les médecins puissent être plus proches, comprendre mieux ou, à tout le moins réaliser qu'un parcours flêché est plus facile et moins angoissant à suivre qu'une piste mal renseignée dans la jungle.

Le chimioke a essentiellement besoin de chaleur affective et de respect pour rester en contact avec son humanité, avec la Vie.

Mon amie japonaise dit qu'ils ont pour coutume de rester calmement à côté de la personne qui souffre, en empathie silencieuse, le temps voulu pour ne pas lui peser, et de n'échanger que les mots indispensables… Cela vaut sans doute aussi pour d'autres états de faiblesse. A méditer.

Marilyn Droog